Et si vous étiez concerné par le Diagnostic Plomb à Tours (INDRE ET LOIRE) ?

Ingérer du plomb via l’eau du robinet favorise l’imprégnation du plomb dans l’organisme.

En plus d’autres facteurs d’exposition (pollution, peintures dégradées, etc.), le plomb dans l’eau contribue à des causes de saturnisme.

Très utilisé jusqu’en 1970, le plomb dans les canalisations est totalement interdit utilisé depuis 1995. Ce diagnostic plomb permet de s’assurer que la concentration de plomb dans l’eau consommée en dessous du seuil fixé par le Code de la Santé Publique.

Êtes-vous concerné par le Diagnostic Plomb dans l'eau à Tours 37000 ?

OUI, si vous êtes le propriétaire, copropriétaire ou syndic d’un immeuble à usage d’habitation, dont l’installation de distribution d’eau potable remonte avant 1995. Le plomb a en effet été très employé dans les réseaux d’eau jusqu’aux années 1970. Puis son usage a considérablement été réduit jusqu’à son interdiction définitive en 1995.

Les propriétaires, copropriétaires ou syndics étant responsables en cas de détection de plomb dans l’eau consommée, il leur est fortement conseillé de faire effectuer ce diagnostic pour connaître la teneur en plomb de leurs installations d'eau.

Objectifs du Diagnostic Plomb dans l'eau dans le Tours (INDRE ET LOIRE)

Etablir une mesure individuelle, chez le consommateur, de la concentration en plomb, dans un échantillon d’eau prélevé afin de comparer le résultat obtenu avec le seuil en vigueur dans le Code de la santé publique : 10 μg/l.

En cas de taux supérieur, des travaux de remplacement des canalisations devront être effectués.

Avantages de notre offre « Risque Plomb » 

  • Une équipe certifiée, expérimentée et compétente dans la réalisation des contrôles exigés par la règlementation.
  • Un suivi personnalisé, pris en charge par un chargé de projet, garant du bon déroulement, de la mission, {{conformément à||dans le respect de} nos engagements.
  • Des processus d’intervention qui ont fait leurs preuves et fiabilisés.
  • Des rapports uniques, innovants, clairs et adaptés à la compréhension des destinataires.
  • Des compétences transverses (AMO, air, analyses, déchets…) nous permettent de vous guider plus loin dans la gestion du risque plomb.

Méthodologie

  • La méthodologie mise en avant par la circulaire DGS/SD 7 A n° 2004-45 du 5 février 2004, permettant d’apprécier la situation quant à la présence de plomb dans l'eau, oblige à réaliser a minima un prélèvement de 2 litres d'eau au bout de trente minutes de stagnation au moins, sans purge préalable.
  • Si une ou plusieurs valeurs mesurées dépassent 10 μg/l, il est indispensable de prévoir une intervention de repérage des canalisations en plomb par un bureau de contrôle compétent. Il incombe alors au propriétaire de décider de la mise en oeuvre des travaux de mise aux normes des canalisations dont il a la responsabilité.

Le rapport délivré stipule si l’installation est conforme ou non, vis-à-vis de la teneur en plomb mesurée dans l’eau. Le procès-verbal d’analyse du laboratoire est fourni en annexe.

Réglementation 

  • Code de la santé publique : articles R. 1321-1 à R. 1321-66.
  • Arrêté du 29 mai 1997 relatif aux matériaux et objets utilisés dans les installations fixes de production, de traitement et de distribution d'eau destinée à la consommation humaine.
  • Arrêté du 31 décembre 2003 relatif aux conditions d'échantillonnage à déployer pour mesurer le plomb, (…) dans les eaux destinées à la consommation humaine (…).
  • Circulaire DGS/SD 7 A n° 2004-45 du 5 février 2004 sur le contrôle des paramètres plomb, cuivre et nickel dans les eaux destinées à la consommation humaine.
  • Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la consommation humaine (…).
  • Norme NF P41-021, Janvier 2004 : repérage du plomb dans les réseaux intérieurs de distribution d'eau potable.

 

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